LA FRANÇAFRIQUE N'EST PAS UNE FATALITÉ ! INFORMEZ-VOUS ! ENGAGEZ-VOUS !

Pensez à consulter également la PAGE FACEBOOK DE SURVIE GIRONDE

Survie Gironde est une antenne locale de l'association
SURVIE. Financièrement, l’association dépend pour l’essentiel des contributions de ses adhérent-e-s et de ses donateur-rice-s, garantes de son indépendance. Elle ne perçoit pas d'argent de l'Etat (excepté les aides sur les contrats salariés), de parti politique, religieux, ou de syndicat.
Pour cette raison, si vous êtes sensibles aux messages défendus par SURVIE, il est important de soutenir l'association.
Pour cela, vous pouvez :
- faire un don, adhérer et/ou vous abonner à Billets d'Afrique et d'Ailleurs, le bulletin mensuel de SURVIE,
- contribuer à la diffusion la plus large possible des messages de l'association,
- vous rapprocher de Survie Gironde pour agir à nos côtés.
Survie Gironde a besoin de vous
pour multiplier ses moyens d'action et lutter contre la françafrique à l'échelle locale !

LA FRANÇAFRIQUE N'EST PAS UNE FATALITÉ !
INFORMEZ-VOUS ! REJOIGNEZ-NOUS !


jeudi 11 septembre 2014

Guillaume Ancel à Uzeste

Le 27 septembre prochain, à 15 heures, l’association CAURI et la compagnie UZ ET COUTUMES vous invitent à rencontrer l'ancien officier Guillaume ANCEL à Uzeste (près de Langon), au 4 rue Faza.

Capitaine de l’armée de Terre en 1994, Guillaume Ancel est intervenu au Rwanda en plein génocide pendant la très controversée Opération Turquoise (22 juin-22 août 1994). Les révélations contenues dans son livre Vents sombres sur le lac Kivu (THEBOOKEDITION.COM, février 2014), poursuivies sur son blog et lors d'interviews dans les médias nous éclairent sur la réalité de cette intervention française. Celle-ci qui affichait un objectif humanitaire aurait dû, dit l’officier français «logiquement intervenir contre les génocidaires, c’est-à-dire contre le gouvernement rwandais et ses forces armées. Au lieu de cela, nos responsables politiques ont décidé que nous devions stopper leurs opposants militaires. J’ai reçu l’ordre, le 22 juin, de préparer un raid sur Kigali pour reprendre la capitale et le 30 juin de guider les frappes aériennes contre les colonnes du Front patriotique rwandais (FPR)» (Le Monde, 30 août 2014).

Venez écouter ce témoin et débattre avec lui. Nous, citoyens français, devons regarder en face les responsabilités de notre pays dans le génocide des Tutsi rwandais (1 million de civils exterminés en 3 mois) afin que les erreurs et les fautes commises par nos dirigeants ne puissent pas se reproduire.