LA FRANÇAFRIQUE N'EST PAS UNE FATALITÉ ! INFORMEZ-VOUS ! ENGAGEZ-VOUS !

Pensez à consulter également la PAGE FACEBOOK DE SURVIE GIRONDE

Survie Gironde est une antenne locale de l'association
SURVIE. Financièrement, l’association dépend pour l’essentiel des contributions de ses adhérent-e-s et de ses donateur-rice-s, garantes de son indépendance. Elle ne perçoit pas d'argent de l'Etat (excepté les aides sur les contrats salariés), de parti politique, religieux, ou de syndicat.
Pour cette raison, si vous êtes sensibles aux messages défendus par SURVIE, il est important de soutenir l'association.
Pour cela, vous pouvez :
- faire un don, adhérer et/ou vous abonner à Billets d'Afrique et d'Ailleurs, le bulletin mensuel de SURVIE,
- contribuer à la diffusion la plus large possible des messages de l'association,
- vous rapprocher de Survie Gironde pour agir à nos côtés.
Survie Gironde a besoin de vous
pour multiplier ses moyens d'action et lutter contre la françafrique à l'échelle locale !

LA FRANÇAFRIQUE N'EST PAS UNE FATALITÉ !
INFORMEZ-VOUS ! REJOIGNEZ-NOUS !


jeudi 7 février 2013

L'intervention militaire Française au Mali

Voici plusieurs liens où trouver des interventions ou publications de l'association Survie au sujet de l'intervention militaire française au Mali :

(retrouvez l'ensemble des articles de Survie sur le Mali en suivant ce lien)

Mali : Une élection sous influence française, cautionnée par l’Union Européenne et l’ONU (25.07.2013) 

 

Accord de Ouagadougou : une élection, mais pas de solution (08.07.2013)

 Tenir à tout prix le délai du 28 juillet pour l’élection présidentielle, non pas pour respecter le souhait des populations, mais pour redonner une apparence de légitimité à une oligarchie qui a largement contribué au déclin du pays : c’est le pari hasardeux que la France est en train d’imposer au Mali.

 

La France en guerre au Mali, enjeux et zones d’ombres (juin 2013)

Edition Tribord, 249 pages, 7 €
Ouvrage collectif de l’association Survie coordonné par Juliette Poirson et Fabrice Tarrit
 

France-Mali : les militaires remportent leur guerre d’influence au Parlement et à l’ONU (29.04.2013) 

A l’unanimité et sans réel débat l’Assemblée nationale et le Sénat ont voté lundi 22 avril 2013 la prolongation de l’opération militaire française Serval au Mali.

 

Mali : bienvenue dans un monde parallèle (03.04.2013)

Comme en Côte d’Ivoire, la France entend bien bénéficier de la couverture onusienne pour maintenir son armée dans le pays (ou à proximité immédiate), sous couvert de prêter assistance à la force de l’ONU, sans pour autant se plier aux contraintes qu’exigerait une participation officielle à cette force.

 


Mali : la France, chantre de l’autonomie du Nord (12.02.2013)
Après l’entrée en guerre de la France au Mali, et la prise des villes du nord, des personnalités politiques françaises, Laurent Fabius et Elisabeth Guigou en tête, mettent en avant les revendications du MNLA et l’autonomie du nord du pays. 
 

Un dossier très complet intitulé "Les zones d'ombres de l'intervention française au Mali" (24.01.13)


Communiqué de presse (14.01.13)



Passage à la Radio Française :






Autres articles que ceux de Survie (liste non exhaustive) :

Aminata Traoré, ancienne ministre malienne de la culture, dénonce l'"humiliante ingérence" de la France au Mali (mai 2013)

LE NAUFRAGE ET L’OFFENSE - "LE MALI EST A RENDRE AUX MALIENS " par Aminata D. Traoré (mai 2013)


Jean Batou  (source : ESSF)
Mali : refuser la géopolitique du « moindre mal ». Aux racines de la crise (04.02.13)

Introduction de son article :
"Pour appréhender un phénomène aussi complexe que le soulèvement touareg au Nord-Mali, de même que l’essor de l’islam politique et le rôle joué par les groupe djihadistes armés dans cette région, il importe de prendre de la distance par rapport aux compte-rendu émotionnels de la grande presse, qui réduit chaque événement à son apparence immédiate, contribuant à le rendre proprement insaisissable. Je commencerai donc par brosser un tableau social du Mali, dominé par la misère, de larges poches de famine, et la montée des inégalités sociales et régionales, dans un contexte marqué par la libéralisation économique et l’ouverture aux capitaux étrangers, sous la pression d’une succession de plans d’ajustement structurel, depuis la seconde moitié des années 1980. Ensuite, je reviendrai sur l’histoire des soulèvements touaregs, de la résistance à la colonisation française à la lutte contre les politiques centralisatrices et répressives du Mali indépendant. Enfin, je tenterai d’analyser le jeu spécifique de certains acteurs comme les investisseurs internationaux, les djihadistes étrangers et les trafiquants du Sahel. Je conclurai ce tour d’horizon en justifiant le refus de tout soutien à l’intervention militaire française."



 Achille Mbembe :
« C’est aux Africains de régler eux-mêmes leurs différends »
(28.01.2013)


Bérangère Rouppert (chargée de recherche au GRIP) : 
L’étonnant consensus autour de l’intervention française au Mali
(15.01.13)



Aucun commentaire: